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24 avr. 2011

Mea culpa !

Mes excuses auprès des spécialistes, et à vous tous amis visiteurs qui n'êtes pas d'éminents odonatologues, pour l'explication qui va suivre et qui vous paraitra compliquée !
Dans mon article précédent, j'ai baptisée à tord Leucorrhines caudalis, une L qui en fait ne l'était pas, c'est une L albifrons, un des critères déterminants de cette espèce est qu'il n'y a qu'une seule nervure transverse cubito anale, alors que chez caudalis, il y en aurait deux.
Eh, oui, rien n'est facile, mais ça reste aussi l'intérêt de la chose, et notre envie de continuer à apprendre ...


Alain

4 commentaires:

  1. Tu es pardonné! Mais seulement pour cette fois ;-)

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  2. Vivent les spécialistes!
    je trouve cette science très compliquée!
    Bonne fin de WE!

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  3. Tu n'as pas à t'excuser, on fait tous des erreurs...même (et surtout) moi!! MDR!!!
    Et c'est vrai que ces challenges ajoutent du piquant à notre passion: si c'était trop facile, il n'y aurait plus d'intérêt!
    Bravo pour tes précisions!

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  4. Merci, ces espèces sont très rares, et mal connues, surtout émergentes, du monde des Odonates, à priori, pour un petit jeune, comme moi, oh, j'en vois une qui tousse ! ;-))

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