Pyrrhosoma nymphula
Large-red Damselfly
Pyrrhosoma nymphula
Large-red Damselfly
Malgré des prévisions météo peu engageantes, la matinée, bien que très fraîche,
était ensoleillée ce dimanche matin, donc direction les étangs de l'Abbaye.
Me basant sur la température, j'envisageais les émergences plus tardives.
Que nenni ! Quand j'arrivai vers 10 h, tout était fini, ne restaient que de tous
jeunes insectes en attente de sécher pour leur premier envol. Comme ces jeunots
sont déjà malins, et qu'ils ont vite fait de faire le tour du support pour se cacher
quand on s'approche, et que l'environnement est bien touffu, j'ai préféré
m'en tenir aux portraits, au moins de celles et ceux qui restaient en place.
Vous remarquerez (photo 4) que subsiste encore, sortant d'un stigmate
thoracique, un peu de la connection qui relie l'insecte à l'exuvie
lors de l'émergence (et dont j'ai oublié le nom)... J'en profite pour signaler
à Noushka, qui s'étonnait de la couleur foncée des exuvies, que celles sorties
de l'étang lui-même, donc fond vaseux, sont quasi noires, alors que celles venant
d'un ruisseau qui s'y jette, fond sableux, sont dans des nuances de brun-beige.
Il y aurait là une adaptation au milieu que ça ne m'étonnerait qu'à Poitiers...
Qu'à moitié, pardon... Images du 24 avril.
Morikan
était ensoleillée ce dimanche matin, donc direction les étangs de l'Abbaye.
Me basant sur la température, j'envisageais les émergences plus tardives.
Que nenni ! Quand j'arrivai vers 10 h, tout était fini, ne restaient que de tous
jeunes insectes en attente de sécher pour leur premier envol. Comme ces jeunots
sont déjà malins, et qu'ils ont vite fait de faire le tour du support pour se cacher
quand on s'approche, et que l'environnement est bien touffu, j'ai préféré
m'en tenir aux portraits, au moins de celles et ceux qui restaient en place.
Vous remarquerez (photo 4) que subsiste encore, sortant d'un stigmate
thoracique, un peu de la connection qui relie l'insecte à l'exuvie
lors de l'émergence (et dont j'ai oublié le nom)... J'en profite pour signaler
à Noushka, qui s'étonnait de la couleur foncée des exuvies, que celles sorties
de l'étang lui-même, donc fond vaseux, sont quasi noires, alors que celles venant
d'un ruisseau qui s'y jette, fond sableux, sont dans des nuances de brun-beige.
Il y aurait là une adaptation au milieu que ça ne m'étonnerait qu'à Poitiers...
Qu'à moitié, pardon... Images du 24 avril.
Morikan