Bienvenue sur ce site principalement dédié à la rencontre avec les Libellules de France et d'Ailleurs.
Qui n'a jamais été émerveillé par leur beauté? Recensements, découvertes, discussions, explications et photographies de qualité sont nos objectifs pour vous faire aimer ces robots vivants!
Pour publier vos photos ici, lire les Conditions de Publication et contacter Noushka ici: noushka321@gmail.com
Welcome to this blog dedicated to the Dragonflies of France and elsewhere. Who hasn't felt in awe by their beauty? Census, discoveries, talks, explanations and quality photographs are the main objectives here!
To publish your dragonfly photos here, read the Publishing Conditions and contact Noushka at the link above.
15 juil. 2013
A la recherche des Filles de la Rochelle
Sympetrum meridoniale
En plein centre de La Rochelle, dans le jardin public d'une maison de retraite,
j'ai découvert une petite tribu de Sympetrum meridoniale.
Je n'arrive toujours pas d'ailleurs à savoir où est le point d'eau qui les rassemble.
Voici, pour le début d'une petite série, un bon Rochelais, comme moi.
Ces libellules, posées à cent mètres de mon ancien lycée,
m'ont rappelé de vagues souvenirs de mathématiques.
Exemple 1 : les parallèles.
Exemple 2 : l'orthogonalité.
D'autres vont venir (mes premières en plein vol ! )
Jean-Vincent
Libellés :
CHARENTE-MARITIME,
JV. Aubineau,
SYMPETRUM,
Sympetrum meridionale
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Mais c'est du tout bon ! Des bokehs d'enfer ! Bravo ! Un plus pour celle sur le bourgeon de prêle ! Attention à ne pas confondre "les Filles de La Rochelle" avec "Les ptites filles de La Rochelle", ce n'est pas le même répertoire ;-) Cdlt, M.
RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimerJe me régale devant de tels clichés ! Une pure merveille ! Le jardin public de la maison de retraite possède des résidents très lestes !
Gros bisous
Extra, Jean Vincent, vraiment une belle série ! En maturation, ils peuvent se trouver assez loin des plans d'eau.
RépondreSupprimerLes deux dernières sont superbes, quel regard ;-)
RépondreSupprimerBravo Jean Vincent.
Merci à toutes et tous.
RépondreSupprimerA propos de l'éloignement des points d'eau, jusqu'à combien de mètres peuvent elles (ils) s'éloigner ? 100, 200, plus ??
Merci pour vos réponses.
Cet éloignement peut être très important, des milliers de mètres parfois, surtout pour des immatures. Ai vu dans une prairie dernièrement des juvéniles S. Sanguineum et O. curtisii, alors que le point d'eau le plus proche, l'Indre , était à 2 km, "à vol de libellule" ! Même s'il peut exister des mares non répertoriées, temporaires ou non, plus proches... Mais mes camarades vont te donner leur sentiment itou... Cdlt, M.
SupprimerOui, Morikan a raison, et en principe les femelles matures ne viennent autour des plans d'eau que lorsqu'elles sont à la recherche d'un partenaire, c'est bien pour ça que les mecs sont toujours très excités quand une se pointe à l'horizon ;-))
RépondreSupprimerMerci beaucoup pour tous ces renseignements.
RépondreSupprimerMagnifique, JV!
RépondreSupprimerTa participation nous fait vraiment plaisir surtout avec des clichés de cette qualité!! ;-)
J'en redemande!!
Les odonates juvéniles maturent dans les prairies et en lisière des bois pour trouver de quoi manger et ne se rapprochent en effet des points d'eau que lorsqu’ils sont prêts à l'accouplement, comme les copains l'ont bien dit!
Excellentes photos et originale présentation en comparaison
RépondreSupprimer