Libellula depressa
libellule dépriméeDans la petite mare forestière à Coubron (Seine saint Denis) l'espèce Libellula depressa est représentée par quelques individus. L'avantage avec cette espèce est qu'elle se pose régulièrement ce qui facilite les photos par contre photographier la ponte de la femelle est plus galère et je ne parle même pas du cœur copulatoire qui est un véritable défit...déprime assuré.
Libellula depressa male - le 03 juillet 2015 |
Libellula depressa male - le 15 juillet 2015 |
Libellula depressa male - le 03 juillet 2015 |
Libellula depressa male - le 12 mai 2015 |
Libellula depressa femelle lors de la ponte - le 12 mai 2015 |
Libellula depressa male - le 03 juillet 2015 |
Aeshna cyanea
Aeschne bleue
Toujours dans cette petite mare forestière Coubronnaise, j'observe un mâle Aeshna cyanea qui est sans cesse en vole. Avec les conditions de lumière difficiles de la mare, j'ai galéré pour lui tirer le portrait. Mais c'est la première fois que je photographie cette espèce donc cela valait bien un petit coup de déprime (pff, comment je me suis rattrapé par rapport au titre de l'article).
Aeshna cyanea - le 16 juillet 2015 |
Du beau travail : des angles sympas sur les L. depressa, des bokehs qu'on dirait des fonds cyclo, la ponte d'une femelle, et le vol de A. cyanea qui permet d'apprécier ses couleurs magnifiques, si ça c'est pas du top ! Pas de quoi déprimer, au contraire ! Cdlt, M.
RépondreSupprimerMerci pour ton commentaire, c'est sympa. Pour les bokehs je trouve qu'ils sont trop unis, un peu de texture n'aurait pas été plus mal.
SupprimerAmicalement.
Les deux écoles s'affrontent : bokeh uniforme ou bokeh strcturé ! Perso, j'aime bien les 2, question d'humeur, ou plus simplement question technique ! M.
SupprimerSuperbe Michel, belle déprime en tout cas, on va s'en servir comme bonne thérapie :))
RépondreSupprimerTon vol est magnifique et comme Mo, j'apprécie particulièrement les bokeh.
Bravo
Merci Nathalie pour ton commentaire. La déprime vient surtout que cette mare va être à sec, cela fait mal au coeur.
SupprimerAmicalement.
Pfiou, décoiffant!!!
RépondreSupprimerRien de déprimant pour moi dans cette belle série sauf que..... je déprime quand même en voyant ces belles photos de mâles: je n'en ai qu'un à l'étang et je galère pour lui tirer le portrait! LOL!
Il ressort parfaitement sur ce fond mi-teinte, le marron foncé n'est pas toujours facile à pixéliser.
Un bel essai pour madame en ponte, je n'ai réussi que 2 ou 3 clichés jusqu'à présent.
Bon courage pour les cœurs, ils' m'ont toujours échappé!!
Quant à ton cyanea en vol, un très grand BRAVO: ces clichés - avec cette espèce - ne sont pas évidents non plus, faut tomber sur le bon spécimen au bon moment, sans compter LA bonne dose de patience!!!
Bon weekend, Michel :)
Merci Noushka pour ce commentaire. Tu sais dans cette petite mare, il n'y a que 2 mâles et j'ai placé 2 supports qu'ils utilisent continuellement, l'avantage est qu'ils sont posés de longs instants. Le problème de cette mare forestière (et Morikan c'est de quoi je parle) est la faible quantité de lumière disponible, il faut que je sois à 800 isos (maxi pour le D7100 pour une image potable) et en vitesse j'arrive péniblement à 1/160s pour un diaph de f/7.1 donc difficile de photographier un vol ou une ponte.
SupprimerAmicalement
Tout est dit sur le manque de lumière ! ;-((
SupprimerAh ça pour les mares forestières, je connais aussi... Surtout au confluent Garonne-Ariège où je photographie les Aeschnes affines. Ces mares sont à 70% du temps à l'ombre et je dois mettre des perchoirs dans les points plus lumineux.
RépondreSupprimerPour les vols dans ces conditions-là, tu n'en as que plus de mérite, mais la chance de tomber le bon individu qui fait du sur place juste assez longtemps est aussi question de bol ;-)
Je posterai une photo de cette espèce en vol et en tandem prise dans ces conditions-là bientôt, je m'aperçois qu'elle ne figure pas dans mes articles précédents.
La semaine s'annonce un peu maussade j'espère que chez toi tu auras l'occasion de quelques belles sorties quand même :)
Tu as raison, il faut quel la Libellule fasse du sur place pendant au moins 3 à 4 secondes pour la choper dans le viseur (c'est ça le plus difficile). Pour la photo du vol de cet article, l'Aeshna cyanea est à moins de 2 mètres de moi et heureusement que j'avais pris un repère pour situer la Libellule par rapport à l'orientation de mon objectif. J'ai hâte de voir tes photos, le tandem m'intéresse beaucoup.
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