Platycnemis pennipes
Blue Featherleg
Hyper abondant, voire envahissant en début d'été, l'Agrion à larges pattes
(du grec Platys, large, et Khemis, tibia, et du latin penna, plume,
et pes, pied, et tout est dit sur sa morphologie...) permet de ne pas rentrer
bredouille les jours maigres, comme ce 12 août, jour des premiers clichés.
Par chance, le ciel couvert mais lumineux, par un effet "boîte à lumière",
permet des clichés sans ombres tranchées, tout en ne demandant pas
de trop grimper dans les zizos...
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Vous remarquerez qu'une patte de son casse-croûte dépasse encore des mandibules... |
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Là, encore un peu de bouillie aux commissures (de peaux lisses, bien sûr...) |
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Oups ! tout mangé... |
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Femelle : on notera la bande antéhumérale double peu marquée dans sa partie inférieure, ce qui serait lié à l'hygrométrie lors de l'émergence, dixit Dijkstra... |
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Mâle aux coloris conformes, on note que les marques oculaires sont variables d'un sujet à l'autre, et de mâle à femelle... |
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Une jeune femelle, teintes beiges tirant vers le rosé, normal... |
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Autre femelle, dans les bleus, qui sont plutôt les teintes des mâles... Disons qu'elle se cherche, faute d'autre explication...
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Morikan
C'est vrai qu'un ciel voilé offre la plus belle des lumières douces et cela se remarque sur tes clichés (sauf sur 7 et 8 un peu plus dur). La photo n°02 est vraiment terrible avec cette tige qui s'estompe subtilement et la netteté parfaite sur la tête si intéressante du Platycnemis pennipes. Les photos 3 et 4 sont impressionnantes avec un PDV qui met en valeur l'écartement des yeux...c'est magnifiques !. Cette espèce est intéressante à photographier, mais ce n'est pas facile, car souvent elle est postée au ras du sol, ce qui donne plus de valeur à tes photos. ). J'ai une photo de Patycnemis, mais j'ai un doute sur son identification et impossible d'aide à l'identification avec le pronotum, cela pourrait être P.acutipennis mais j'ai un doute sur sa présence chez moi.
RépondreSupprimerAmicalement,
Michel
Magnifique-magnifique!!
RépondreSupprimerFinalement, chez presque toutes les espèces d'odos les femelles ont des teintes assez variables bien plus que chez les mâles, une fois qu'ils ont atteint l'âge mature.
Difficile de les choper en train de bouloter: la plupart du temps, leurs proies sont microbes!
Assez de lumière pour ne pas avoir de grain, c'est le top, pour ma part, j'aime bien le plein soleil, ça m'évite d'avoir à utiliser un flash.
Point de vue graphisme, la 2 et la 4 sont mes préférées et je sis surprise par cette femelle si bleue!
Très jolie série qui rend bien hommage à l'espèce :)